yeuxbruns Je veut dire les mecs racistes ( dĂ©jĂ  ĂȘtre raciste ) Mais exemple les mecs blanc aux yeux bruns qui injure d'idĂ©e raciste les " Ă©trangĂ©s etc .. sĂ©rieux c'est pitoyable Arr LeproblĂšme, c'est que la plage du Domaine est Ă  environ 45 minutes de marche de St-Jos, et accessible seulement par la voie ferrĂ©e fait que ceux qui ont peur de s'Ă©loigner du village, comme Gendron, ceux qui se promĂšnent seulement en gougounes, comme Ben, ou ceux qui sont trop paresseux, comme Dimitri, trouvent que c'est Ă  l'autre bout du monde! Ju0019ai tendu l\u0019oreille&et j\u0019ai entendu J\u0019ai entendu, dans l\u0019Ă©table industrielle, une vache parler avec ses voisines : « - les filles, je sais que je vais bientĂŽt Personnellement j’ai beaucoup de mal Ă  me dĂ©cider, mais si pouvais m’abonner Ă  une seule et unique box, je crois que je prendrai l’ EnvouthĂ©, mais ça, ce n’est mĂȘme pas par le contenu (puisqu’il est aussi riche que pour La ThĂ© Box) mais tout simplement par rapport Ă  ma personnalitĂ© qui colle plus avec l’univers d’ EnvouthĂ©:) Évidemment, si je pouvais m’abonner Saluttout le monde, on se retrouve pour une nouvelle vidĂ©o ! Nouvelle moto, j'espĂšre qu'elle vous plait Vous pouvez me suivre sur .. Vay Tiền TráșŁ GĂłp Theo ThĂĄng Chỉ Cáș§n Cmnd. Nous sommes lĂ  pour vous +41 22 518 07 65Droit d'Ă©change de 30 joursJusqu’à - 70 % avec nos prix dĂ©gressifs Je vends Emplois Aide Nos produitsNos canaux de venteNos servicesNos rĂ©fĂ©rences Recevez rĂ©guliĂšrement toutes les nouveautĂ©s Spreadshirt utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer des offres de produits, rĂ©ductions et jeux concours. Vous pouvez rĂ©voquer votre consentement Ă  tout moment en cliquant sur le lien prĂ©sent dans les newsletters. Vous trouverez d’autres informations dans notre politique de confidentialitĂ©. D’oĂč viennent ces avis ? Seules les personnes ayant achetĂ© ce produit peuvent l’évaluer et laisser un commentaire. Le nombre d’étoiles de 0 Ă  5 montre la note moyenne. Nous mettons en ligne les commentaires une fois que leur authenticitĂ© a Ă©tĂ© vĂ©rifiĂ©e. Si le mari de Liliane revenait au monde et qu’il fĂ»t confrontĂ© Ă  de ces journalistes qu’on trouve de nos jours en rayons ; qu’il lĂ»t les gros titres Ă  la une des hebdomadaires, toujours plus suffisants, plus insultants Ă  l’encontre des dirigeants que le peuple majoritairement s’est choisis, se contenterait-il du fameux Taisez-vous, Elkabach » ? Nous ne demandons pas des journalistes confits de dĂ©fĂ©rence, obsĂ©quieux Ă  l’ancienne comme le gendarme Cruchot devant l’adjudant Gerber. Non. Nous savons aujourd’hui apprĂ©cier les pointeurs de langue de bois, balayeurs de faux-semblants, dĂ©nicheurs de contradictions. Au besoin mĂȘme un brin d’irrĂ©vĂ©rence courtoise, d’obstination polie peut, en poussant l’interrogĂ© dans ses retranchements, faire surgir du juste, du vif, de l’humain. Quelques journalistes de cette sorte existent encore. Jusqu’à quand ? Car l’heure est Ă  la surenchĂšre dans le dĂ©nigrement, au jeu de massacre, au chamboule-tout. On se paye la tĂȘte d’Hollande aprĂšs celle de Sarko, celle d’Ayrault aprĂšs celle de Fillon Est-il si nul ? », Le voyou de la RĂ©publique », Sont-ils nuls ? », Les apprentis », On se rĂ©veille ? », On arrĂȘte avec les bĂȘtises ? », Pourquoi il n’y arrive pas ? », sur le ton que prenaient nos vieux profs pour humilier les cancres, mais de prĂ©fĂ©rence Ă  la forme interrogative, par un restant de prudence et de tartufferie. Peu importe la tendance politique du fou », du voyou » ou du nul » aprĂšs la droite visĂ©e pendant cinq ans, c’est maintenant la gauche depuis six mois, aussi outrageusement. Il n’y a plus de camp politique, juste le camp d’une petite caste endogĂšne qui prĂ©tend se faire l’écho de l’inquiĂ©tude des Français, en fait hantĂ©e par la concurrence des rĂ©seaux sociaux » ou taraudĂ©e par l’envie de dynamiser les ventes en dĂ©zinguant les chefs, vieille passion gauloise. Sur les ondes, le journaliste rivalise d’insolence avec l’histrion Ă  sabots, autoproclamĂ© humoriste », qu’on invite dans le journal pour mettre un grain de sel, n’est-ce pas ? dans une actualitĂ© si fade, un peu de sourire dans une conjoncture si sombre. Jubilation, quand, aprĂšs le feu roulant de questions perfides et de rĂ©ponses interrompues, on soumet un ministre Ă  sa vulgaire caricature, on lui demande mĂȘme d’en rire. Et nos Ă©lus de se soumettre aux injonctions de ces bateleurs qui masquent leur mĂ©diocritĂ© dans l’abaissement du seul pouvoir lĂ©gitime, qu’au fond d’eux ils jalousent. C’est justement parce que la dĂ©mocratie a besoin d’une presse intelligente, vigilante, et respectable qu’on doit dĂ©noncer la dĂ©rive actuelle. Aux emplumĂ©s de basse-cour qui prĂ©tendent parler en notre nom en ridiculisant les responsables politiques, en montant en Ă©pingle la moindre bĂ©vue, en extrapolant le moindre lapsus, en zappant les Ă©vĂ©nements au lieu de les creuser, en excitant l’inconstance naturelle de ce peuple au lieu de la tempĂ©rer par l’analyse et la rĂ©flexion, quelle personnalitĂ© autre que M. MĂ©lenchon osera surenchĂ©rir sur Georges Marchais jadis et lancer en direct Ă  ces palmipĂšdes infatuĂ©s Vos gueules, les mouettes. » ARION Le BLOG Bibliographie Petite fugue stĂ©phanoise - l'Harmattan- Un matin de mars - l'Harmattan - Collectif Anita Ahunon Tisserands du monde - Anthologie. Sources de la Loire - Livre pauvre revues ... [+] Des mouettes On ne voit que le ventre C'est bon signe Elles nagent la tĂȘte en l'air Parfois elles font la pierre D'un seul coup elles plongent À la volĂ©e Elles froissent la mer Dans une rumeur d'Ă©cume Celle-ci C'est une mouette Ă©cologique En regardant bien On aperçoit son anneau Elle est mariĂ©e Ă  LPO Pour la vie et pour la science Inventant un langage mixant vidĂ©os et jeu des acteurs, le metteur en scĂšne Cyril Teste exalte la splendide traduction de La Mouette signĂ©e Olivier Cadiot. L’avantage quand l’auteur est vivant, c’est qu’on peut le croiser Ă  l’issue de la reprĂ©sentation. Ce fut le cas lors de la soirĂ©e de clĂŽture de la rĂ©sidence de Cyril Teste qui monte La Mouette, Ă  Annecy Haute-Savoie, du 15 au 18 dĂ©cembre Bonlieu scĂšne nationale – Annecy. Il ne s’agit pas de faire courir le bruit qu’Anton Tchekhov est ressuscitĂ© d’entre les morts, mais de rendre hommage aux fulgurances de l’écriture poĂ©tique d’Olivier Cadiot, tant sa traduction bouleverse en allant droit au but Ă  chaque rĂ©plique. Souvenons-nous. En se fondant sur la traduction d’Antoine Vitez, Olivier Cadiot livrait il y a quelques annĂ©es une premiĂšre réécriture de La Mouette Ă  Thomas Ostermeier, qui crĂ©ait alors la piĂšce au théùtre Vidy-Lausanne, en 2016. Remis sur le mĂ©tier avec d’infimes variations, ce mĂȘme texte se redĂ©couvre aujourd’hui, placĂ© entre les mains de Cyril Teste. LĂ  oĂč Thomas Ostermeier le connectait au temps prĂ©sent en recourant Ă  des improvisations, Cyril Teste le rĂ©vĂšle de son cĂŽtĂ© en puisant dans l’intĂ©rioritĂ© Ă©motionnelle de chaque mot. Un sujet de stupĂ©faction pour Olivier Cadiot, qui n’avait jamais imaginĂ© que son travail puisse s’accorder Ă  ces deux approches, aux antipodes l’une de l’autre. Une analyse que confirme Cyril Teste “Pour moi la chose la plus subversive Ă  tenter Ă©tait de m’en tenir Ă  une exploration en profondeur du texte d’Olivier. Le pari Ă©tait d’inventer une dramaturgie de l’immĂ©diatetĂ© pour faire dialoguer les corps des acteurs et leurs prĂ©sences filmĂ©es sur le plateau.” FormĂ© aux Beaux-Arts, le metteur en scĂšne agit en peintre autant qu’en cinĂ©aste, en enrichissant le cours de la reprĂ©sentation de captations en live projetĂ©es sur la blancheur de toiles vierges, qu’il dĂ©place comme un accrochage mouvant sur les murs d’un atelier d’artiste. C’est dans ce cadre que la piĂšce se dĂ©roule. >> A lire aussi Comment les théùtres tentent de survivre Ă  la crise sanitaire PrĂ©textant une villĂ©giature dans une rĂ©sidence situĂ©e sur les rives d’un lac, Anton Tchekhov pointe l’intime d’une reprĂ©sentation en famille pour rĂ©activer une querelle sur l’art digne des Anciens et des Modernes. Avec La Mouette, il annonce, dĂšs 1896, l’avĂšnement d’une avant-garde. Signant l’acte de naissance de la performance, la piĂšce s’ouvre sur un happening imaginĂ© par Treplev, le fils de la maison. Ce manifeste de la modernitĂ© est incarnĂ© par Nina, la jeune femme qu’il aime et dont le seul rĂȘve est de devenir actrice. Les commentaires ironiques de sa mĂšre Arkadina, comĂ©dienne cĂ©lĂšbre ne jurant que par un théùtre reconnu du public, tout comme les regards amusĂ©s de Trigorine, son amant littĂ©rateur qui se contente de succĂšs qui rapportent, auront tĂŽt fait de mettre un terme Ă  l’expĂ©rience. Les murs de l’atelier conçut par Cyril Teste cristallisent ce clash originel comme un obstacle indĂ©passable. Seule la mĂ©diation des images va tĂ©moigner des paysages et des actions se passant dans la demeure. La grammaire visuelle travaille d’abord sur le grain charbonneux du noir et blanc, avant d’exalter les couleurs de la carnation des peaux quand il s’agit d’évoquer un amour quasi incestueux entre mĂšre et fils. L’irruption d’une langue Ă©trangĂšre autre que le russe est une surprise de taille. “Il se trouve qu’Olivia Corsini Arkadina et Mathias Labelle Treplev sont d’origine italienne, raconte Cyril Teste. Je me suis dit que certains secrets entre la mĂšre et le fils auraient encore plus de force s’ils les exprimaient dans leur langue maternelle.” Artiste contrariĂ© et amant Ă©conduit, Treplev se suicide dans le hors-champ de la scĂšne chez Tchekhov. Ayant optĂ© pour une installation qui lui interdit tout regard direct sur le plateau, Cyril Teste se revendique depuis le dĂ©part du point de vue de son antihĂ©ros. La silhouette de celui qui vient de mettre fin Ă  sa vie se dresse toujours en contre-jour quand son dĂ©cĂšs est annoncĂ©. Il n’est plus qu’une ombre se contentant d’observer sur l’écran les images de ce monde qu’il vient de quitter, et dans lequel il n’a jamais trouvĂ© sa place. Reste l’éternelle puissance d’une solitude d’artiste actant du legs d’une Ɠuvre s’affranchissant mĂȘme de la mort. La Mouette d’aprĂšs Anton Tchekhov, traduction Olivier Cadiot, mise en scĂšne Cyril Teste/Collectif MXM, avec Vincent Berger, Olivia Corsini, Katia Ferreira, Mathias Labelle, Liza Lapert, Xavier Maly, Pierre Timaitre, GĂ©rald Weingand. Du 15 au 18 dĂ©cembre, Bonlieu scĂšne nationale – Annecy. Du 7 au 9 janvier Espace des Arts, ScĂšne nationale de Chalon sur SaĂŽne 71 Les 13 et 14 janvier Le Parvis, ScĂšne nationale Tarbes-PyrĂ©nĂ©es 65 Du 20 au 28 janvier Théùtre du Nord, Centre dramatique de Lille Tourcoing Hauts de France en partenariat avec La Rose des Vents, scĂšne nationale Villeneuve d’Asq 59 Les 4 et 5 fĂ©vrier Théùtre de Saint Quentin en Yvelines, scĂšne nationale 78Les 15 et 16 fĂ©vrier CDN OrlĂ©ans Centre-Val de Loire 45Du 23 au 25 fĂ©vrier TAP – Théùtre Auditorium de Poitiers 86Du 8 au 16 mars Le Grand T, théùtre de Loire Atlantique, Nantes 44Du 26 mars au 18 avril Les Bouffes du Nord, Paris 75 Les 28 au 29 avril La Coursive, scĂšne nationale de La Rochelle 17Les 5 et 6 mai ScĂšne nationale d’Albi 81Les 11 et 12 mai Théùtre LibertĂ©, ScĂšne nationale de Toulon 83Du 19 au 21 mai ComĂ©die de Valence, Centre dramatique national DrĂŽme ArdĂšche 26 Festival Perspectives, SarrebrĂŒck AllemagneDu 18 au 20 juinThéùtre Vidy, Lausanne SuisseDu 25 au 30 juin MC93, Bobigny 93 >> A lire aussi A la MC93 de Bobigny, la crĂ©ation continue Des blagues pourries, vous en connaissez certainement un paquet, ou pas du tout. Pour la derniĂšre catĂ©gorie d’entre vous, voici quelques tirades rapides et efficaces, qui auront le mĂ©rite d’interpeller votre entourage bon public. Garanties sans humour noir ni acharnement de blondes. Pas de blagues nulles Ă  tendance grasse en dessous de la ceinture non plus. Le rire, c’est la vie. Amateur/trice d’humour sans fioriture, si vous ĂȘtes Ă  court de perles de drĂŽlerie, vous voilĂ  au bon endroit. On a beau dire, une blague pourrie, ça donne quand mĂȘme le sourire ! Votre entourage sera certainement pliĂ© en deux aprĂšs l’une de ces merveilleuses sorties, et vous le premier. Alors, sans plus attendre, prenez votre dose de bonne humeur. Attention aux crampes ! Bon, on exagĂšre un tout petit peu
 1/ C’est un hibou qui rentre dans une casserole d’eau chaude et du coup
 HIBOU. CrĂ©dits gayulo/Pixabay 2/ Qu’est-ce qui est vert et qui pousse sous l’eau ? Un chou marin. CrĂ©dits arhnue/Pixabay 3/ Pourquoi un chasseur emmĂšne-t-il son fusil aux toilettes ? Pour tirer la chasse Ă©videmment
. CrĂ©dits Beckervideos/Pixabay 4/ Vous connaissez l’histoire de la chaise ? Elle est pliante ! CrĂ©dits Stevebidmead/Pixabay 5/ Vous connaissez l’histoire de l’armoire ? Elle n’est pas commode
 CrĂ©dits fotoerich/Pixabay 6/ Comment appelle-t-on une fleur qui ne prend sa graine qu’à moitiĂ© ? Une migraine. Une petite blague trop mignonne. CrĂ©dits nidan/Pixabay 7/ Qu’est-ce qui fait toin-toin » ? Un tanard. CrĂ©dits 2554813/Pixabay

ça fait pas rire les mouettes